Dans cent jours pile tous les greetings de l’Ovalie seront tournés vers le Stade de France, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis): vendredi 8 septembre, el XV de France se enfrentará a los All Blacks (Nouvelle-Zélande), Vierta el primer partido de la edición 2023 de la Coupe du monde de rugby. « Jamais une nation n’a été aussi prête et aussi enthousiaste à accueillir » el evento, se réjouit Alan Gilpin, director general de World Rugby, el organismo regulador le rugby mondial, cuestionó par el mundo.
A l’occasion du J-100, miércoles 31 nunca, la Britannique es projette sur l’avenir de son sport. A beginr par ce qu’il anticipate comme le Mondial « el más competitivo de la historia ». Si la afición francesa está satisfecha sin una sola gira dominada por Antoine Dupont y sus equipos –y ganada con un trofeo el 28 de octubre–, World Rugby prefiere el estancamiento actual. « On a de nameuses équipes capaz de battre n’importe quel adversaire, au niveau très proche les unes des autresdesarrollo por M. Gilpin. Cela promet un tournoi vraiment uncert et merveilleusement compétitif. Exactement ce que nous voulons voir! »
El rugby es muy popular en sus zonas históricas, comenzando en Francia, donde los billetes para la Copa del Mundo de 2023 están creciendo rápidamente, pero el demeure mineur está en el mundo. « Si nous comptons désormais 132 Nations member de World Rugby, nous avons conscience qu’il n’est un sport puissant que dans une poignée de ces paysreconocer le Britannique. Además, il est primordial de faire grandir ce sport, d’en faire un vrai sport mondial, ce qu’il n’est pas encore. »
Pour celui qui fut le directeur de la Coupe du monde 2019 au Japon (reportée par l’Afrique du Sud), cette «globalización» passe par la conquête de nouveaux territoires, comme l’Asie voilà four ans, aidée par l’incorporation du sport, dans sa déclinaison à sept, au program des Jeux olympiques.
Evoluciona todo el juego en «preservant l’ADN»
Année de Coupe du monde, 2023 célebre également le bicentenaire du rugby. « Ce sport est né de la disruption, quand quelqu’un a ramasse un ballon de foot et s’est mis à courir avec », responde Alan Gilpin. Selon la légende – tenaz, bien que en gran medida remise en cause -, le rugby a vu le jour en 1823, quand William Webb Ellis, d’un « multa por incumplimiento de las normas » (un rasgo de «mépris pour les règles») aurait accompli une course folle, ballon en main, au milieu de partenaires et d’adversaires interloqués.
La «globalización» voulue par les instances passerait-elle aussi par une evolution du jeu? « On doit conserver cet état d’esprit d’innovation, né de la perturbation, mais ensayant de trouver le bon équilibre entre between continuer à make le jeu more divertissant, more simple à comprendre et more cautivating pour le jeune publicestima el director general de World Rugby. Mais en préservant à tout prix l’ADN de notre sport: un combat pour la balle. »
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