Lun. Dic 9th, 2024

Después del 1em juillet, il Tour de France sillonne les route du Pays basque espagnol, loin de la colère qui agite l’Hexagone depuis la mort de Nahel M., 17 ans, tué par un policier à Nanterre. Lunes 3 de julio, el grand barnum s’apprête à traverser la frontière pour poser ses valises aux environs de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), théâtre de l’épilogue de la troisième étape de la 110Y édition de l’épreuve cycliste. A l’occasion de son retour sur le sol français, il risk aussi de retrouver une réalité: cell de tensions toujours vives, se traduisant par desviolences, le plus souvent nocturnes, un peu partout sur le territoire.

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Cuestionada sobre el contexto de seguridad, la organización de la Grande Boucle permanece en la línea: « Nous sommes en contacto permanente con los servicios de l’Etat y nous suivons la situación con atención. » Avec pour maître-mot, «adaptación». En total, se movilizaron 33.000 agentes de la ley durante el curso de tres semanas; un nombre importante cuando estos últimos se complacen en intervenir en los puntos de tensión del país.

Si también plantea la cuestión de la seguridad del material, de las instalaciones de salida o de meta, del material de los equipos implicados, del paso de la caravana publicitaria… Face aux émeutes, le gouvernement avait annoncé, vendredi , « la cancelación de eventos a gran escala al movilizar efectos y potenciar al presentar riesgos de orden público de acuerdo con las situaciones locales ». Le Tour s’est retrouvé en équilibre – en 2020, en dépit de la pandémie de Covid-19, l’épreuve avait pu être maintenue; mais elle avait été reportée de deux mois, en septiembre de 2020.

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«Je m’en tiens a la course»

De quoi preocupan los participantes? Dans le paddock, ils sont plusieurs à botter en touche. Rod Ellingworth, director del curso de formación británico Ineos-Grenadiers, resume, samedi, avant l’étape inaugural: « Ce n’est pas à moi de commenter, mais plutôt aux autorités qui travaillent énormément. » Su se focalise avant tout sur l’enjeu sportif, répondent d’autres responsables d’équipes étrangères. Una dimensión confirmada, dimanche 2 juillet, par le maillot jaune Adam Yates (UAE Emirates), en la rueda de prensa: « Je suis tellement dans le jus, je ne sais même pas de quoi vous me parlez. Je m’en tiens à la course. »

Côté français, le son de cloche est un peu différent. « On suit l’actualité, même si on est dans notre bulle »fait valoir le Normand Anthony Delaplace d’Arkéa-Samsic. « El contexto es diferente del hábito »extiende Adrien Petit. « Tous les matins, je m’informe sur ce qu’il s’est passé dans la nuit »développe le coureur de l’équipe belge Intermarché-Circus-Wanty.

« Forcément on est inquiet, on n’est pas insensible à ce qu’il se passe en France. Maintenant, il n’y a pas grand-chose que l’on puisse faire nous de notre côtéreconnaît Philippe Mauduit, director deportivo de Groupama-FDJ. On attend des infos de l’organization, on attend des infos des force de l’ordre, et on se pliera a ce qu’ils nous demanderont de faire. » Mais en attendent de franchir pour la première fois la frontière française, et de débuter près de tre semaines de transumance sur les route de France, pour l’instant, «Hay silencio de radio».