Mar. May 13th, 2025

S’interroger sur notre rapport aux médias et à l’information en faisant un pas de côté. C’est le program du Festival international de journalisme, organisé par le groupe Le Monde (el mundo, Servicio de mensajería internacionalel huffpost, telerama et el camino) etc Obs.qui s’est ouvert vendredi 14 juillet et se déroulera jusqu’au 16 juillet dans le village de Couthures-sur-Garonne (Lot-et-Garonne). « Le rugby at-il perdu son âme ? » : la pregunta a été choisie, «voluntariado provocador», pour inciter le débat entre professionnels de l’information et festivaliers, confie Clément Martel, periodista au Mundoqui anime les débats au côté de Richard Sénéjoux, de telerama.

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A deux mois de la Coupe du monde de rugby, qui aura lieu en France du 8 septembre au 28 octobre, quoi de plus logique que de s’échauffer tranquillement en réfléchissant à un sport che s’est longtemps démarqué du football, mais qui est entré à son tour en una lógica de espectáculo. Alors que ciertos partidos auront lieu à Toulouse et à Bordeaux, les deux métropoles les plus proches de Couthures, le sport au ballon ovale figure parmi les sept thèmes qui structurent le program du festival, aux côtés de la Fatiga Informationnelle, la place du service public en el paysage des médias, la urgencia climática, la guerra en Ucrania, o incluso las consecuencias psicológicas de la pandemia del Covid-19.

La primera mesa redonda del après-midi sur le rugby, « Los Top 14 no vuelven »a ouvert le bal, para plantear la cuestión de la profesionalidad galopante de este deporte junto con un fenómeno de metrópolis no los pequeños pueblos font les frais.

Rugby de territorio y rugby de gran ciudad

« Il ya deux rugbys à l’heure actuelle : celui qui vous fait rêver, celui de l’argent, celui du Top 14. Mais il ya aussi le rugby pauvre des petites villes qui est encore plus appauvri par les plus gros club »pensó el ancien joueur y entraîneur Henry Broncan. « Il ya des club amateurs qui continuent de disparaître », alerte-t-il. Gilles Bertrandias, presidente del club de la ville de Marmande, confirma que « el rugby de la metrópoli en pris le pas sur celui des villes moyennes ». «Toutes nos stars sont passées par nos petits villages, c’est là qu’ils ont emerge, on a besoin que chacun se respecte pour œuvrer ensemble à promouvoir notre sport»añadió el presidente del club, creado en 1911 y coronado campeón de Francia durante la temporada 1984-1985.

Alors, faire comment pour que les petits club sobrevivió? « On mutualise et on regroupe les petites communes du bassin marmandais, cela permet d’avoir un vrai parcours de développement pour les jeunes »explique M. Bertrandias, qui juge pour autant que les équipes seniors et les écoles de rugby doivent être conservées village par village afin de garder a « rugby clocher ».

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