Jue. Feb 13th, 2025

Ils sont une cuarentena à se retrouver ce mercredi soir ensoleillé au pied de la butte Montmartre, à Paris. Uniforme: camiseta floqué du nom d’une Course réalisée dans l’année, petit sac à dos muni d’une poche à eau, baskets de running ultratechniques. La plupart se connaissent bien, se saluent d’un «check» du poing avant le début de l’échauffement annoncé by Olivier Acampora, casquette à l’envers et barbe de tres jours, entrenador benévole au sein de l’association Team Trail Paris . En el barrio, les riverains están acostumbrados a deslizarse entre remolques urbanos en quête de dénivelés.

Mientras que el grupo s’élance dans les escaliers de la butte, alternando montées de genoux et talons-fesses, l’entraîneur s’étonne du succès du club: «Il ya deux ans, on était une quinzaine par session. Aujourd’hui, ça monte parfois jusqu’à soixante. En un limité l’adhésion à l’association à 230 personas, et on doit negarse beaucoup de monde cada año. »

L’objectif de ces entraînements hebdomadaires: préparer les adhérents à courir sur de longues distances, voire, pour les plus braves, à intent le Graal des runners en quête de dépassement, l’ultra-trail. Este formato de recorrido ni en los años 1970 aux Etats-Unis repousse toutes leslimites de l’endurance, avec des parcours de más de 80 kilómetros en plena naturaleza, a menudo en condiciones extremas, en alta montaña, en pleno desierto o en clima tropical de La Reunión.

Il ya encore dix ans, les adepts de ce loisir passaient pour des doux dingues. Désormais – en témoigne l’engouement pour ce petit club parisien –, el ultra-trail est devenu un loisir à la mode chez les citadins. « Après le Covid-19, les gens ont besoin de s’aérer, de courir. Certains se sont tournés vers l’ultra, ça a explosé. Maintenant, il faudrait que ce soit plus mélangé: chez nous, il n’y a que des cadres supérieurs »lamenta Olivier Acampora – él es chef de projet à Pôle emploi.

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Parmi les habitués des sessions de Team Trail Paris, Hélène Gat, 37 ans, queue-de-cheval châtain et flasque d’eau à la main, ne se serait jamais crue capace de courir plus de vingt heures d’affilée sans dormir. « Je faisais de petites distances, et puis je me suis rendu compte que 30 kilomètres ça passait, 40 aussi. J’ai continué à dépasser mes limits pour voir où je pouvais m’arrêter. Aujourd’hui, je cours entre 70 y 80 kilómetros por semana. Je me suis découvert des ressources inexplorées »relativo-t-elle, dans un sourire presque surpris.

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