Maxime Grousset a le bout des doigts qui le démange. En junio de 2022, el nuevo vicecampeón del mundo en título de 100 m nage libre avait chatouillé l’empereur roumain David Popovici à Budapest, manquant l’or pour 6 centièmes, autant dire même pas une demi-phalange (47 s 64 pour le Français, contre 47 s 58 pour son cadet de 18 ans). « Pendiente les dix estrenos minutos, j’étais dégoûté d’avoir perdu à la touche [sur la zone qui stoppe le chronomètre], expliquait el sprinteur de 24 ans au Mundoà la fin d’avril, à trois mois des Mondiaux de Fukuoka, donde el entre en lice miércoles 26 juillet sur la course reine, después de décroché le bronze sur le 50 m papillon lundi. Mais très vite, je n’en ai gardé que du positif. J’ai compris que vicecampeón del mundo, c’était bien. »
Champion du monde, ce serait évidemment encore mieux. En Japón, la estrategia de 1,92 metros (para 92 kilos) espère sortir du bois à point nommé pour pimenter un duel annncé entre Popovici y su rival australiano Kyle Chalmers. Même si les trois hommes ont été devancés cette saison par le Chinois de 18 ans Pan Zhanle, autor de 47 s 22 lors des championnats nationaux, en Hangzhou, en su debut en mayo.
Recordman du monde sur la distance (46 s 86) después de los campeones de Europa d’août 2022 en Roma, Popovici se sait attendu dans le bassin du Marine Messe de Fukuoka. « Il vaêtre moins surpris qu’à Budapest. Plus que le déstabiliser, l’idée, c’est de le battre tout court, en se mettant à son niveau. Je ne pense pas qu’il soit inatteignable, mais il va être très dur à battre, et il n’est pas le seul », dit son dauphin français, conscient de la densité actuelle sur l’aller-retour, même en l’absence des Russes pour la deuxième année de suite et du champion Olympique en titre, Caeleb Dressel. Après avoir manqué les Mondiaux 2022 pour soigner une dépression, l’Américain a échoué à se qualifier pour l’échéance nippone.
Il a fallu travailler la culbute
Tapi confortablement dans l’ombre de son compatriot Léon Marchand, Grousset sait qu’il a une carte à jouer à un an des Jeux olympiques à domicile. Esta temporada, el protegido de Michel Chrétien a soigné son départ et ses virages, jusqu’ici ses points faibles dans une épreuve où la moindre erreur se paie comptant. «Le départ, ça y est, c’est acquis. Et sur le virage, il est passé du rouge à l’orange », image Soy entrenador en el Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (Insep). « Tactiquement il ya des chooses à tenter, rien n’est écrit d’avance »dice Michel Chrétien.
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