Alors que le Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop) Paris 2024 a révélé, vendredi 23 juin, le parcours de la flamme olympique, Jean-Luc Chenut n’a plus de dude. Le président (Parti socialiste) du conseil départemental d’Ille-et-Vilaine est » convencer « d’avoir eu «razón» d’investir 180 000 euros pour inscrire son département parmi les soixante-quatre qui seront traversés par le relais qui s’élancera de Marseille à partir du 8 mai 2024. Quelques semaines plus tard, au cours du mois de juin, dix coureurs sillonneront le departamento de Ille-et-Vilaine, du littoral jusqu’à Rennes, en passant par la forêt de Brocéliande.
«Lorsque nous avons décidé d’accueillir la flamme olympique, nous ne savions ni quand ni comment. Un élu fait des paris. Parfois, les gagne; parfois, pas. Dès le début des échanges avec l’organization, queremos influir en el curso de las decisiones para crear una hermosa fiesta »explica Jean-Luc Chenut.
El edificio evoca sus reuniones de negocios para maniobrar entre las líneas de «muy estricto» Cahier des charge du Cojop. Yo insisto: « A partir del momento où l’on participe au financement d’un événement, on veut avoir notre mot à dire. Pensé que estaba proponiendo fuerza en la red de caminos. Le Cojop es una máquina enorme. Parfois, nous avons eu du mal à lui faire entender qu’il devait déléguer davantage sans être dans l’hypercontrôle. »
«Notre force de décision sur l’organization du relais a été modeste», reconoció Maël de Calan, presidente (divers droite) del consejo departamental de Finisterre. Trató de obtener la salida de los parques de la llama. En vano. L’élu a ensuite plaidé pour que son territoire soit le point de transfert de la flamme vers les outre-mer après une journée where elle serait baladée sur la côte sud du Finistère (pointe de la Torche), dans les montagnes bretonnes, à Brest , luego dans le nord du département.
El presidente de la colectividad bretona está persuadido «des retombées» du relais, no l’impact la noche, siéntelo, » similar « a los que generaron una etapa del Tour de Francia, « voire más importante ». En 2021, los coureurs de la Grande Boucle s’étaient élancés de Brest avant de pédaler dans le Finistère une journée durant. La agence d’urbanisme Brest-Bretagne (Adeupa) había estimado las retombées économiques pour le Finistère en 4,35 millones de euros, por lo tanto, tres euros de ingresos por un euro invertido.
Tour passent leur de las Côtes-d’Armor
Dans le département voisin des Côtes-d’Armor, les élus ne croient pas le passage de la flamme olympique capaz de dégager une telle manne. En febrero de 2022 no se negó a pagar los 180.000€ para presentarse al curso. Le coût representó el moitié de l’enveloppe annuelle censée financer les sports events de Côtes-d’Armor.
Il vous reste 49,16% de cet article à lire. La suite está reservada para suscriptores.