Como un aire de déjà vu. Vendredi 7 juillet, el pelotón del Tour de Francia retrouvait le plat après un diptyque pyrénéen aussi précoce – départ du Pays basque espagnol oblige – qu’éprouvant. Comme ce fut le cas lors des dos étapes précédentes promises aux sprinteurs, à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) et à Nogaro (Gers), this septième journée decourse a débuté doucement, les coureurs optant pour un rythme de sénateur, avant que les esprits ne s’échauffent à quelques dizaines de kilomètres de la ligne d’arrivée. Et c’est encore Jasper Philipsen qui fut le premier à la franchir. Le coureur d’Alpecin-Deceuninck, qui conforte son maillot vert, s’offre son troisième succès de la semaine; le cinquième sur les cinq derniers sprint macizos de la Grande Boucle.
L’espace d’un instant, su un bien pensé que ce vendredi rentrerait dans les annales de la course when, à 250 mètres de la ligne, Mark Cavendish (Astana Qazaqstan) a jailli de nulle part. La Britannica, codétenteur du record de victoires d’étapes sur le Tour de France con la légende Eddy Merckx, est en quête d’un 35Y succès historique sur une épreuve qu’il disputa pour la dernière fois ; à 38 ans, il a décidé de prendre sa retraite sportive en fin d’année. Mais il n’a pu résister au retour du sprinteur belge. « Il était vraiment fort et, comme tout le monde, j’aimerais beaucoup le voir gagnersaludó Jasper Philipsen en la rueda de prensa. Ce qui est sûr, c’est qu’il va continuer d’essayer et qu’il est en grande forme. »
L’histoire aurait été d’autant plus belle que le natif de l’île de Man était le dernier coureur à s’imposer à Bordeaux : c’était lors de la 18Y Étape de l’édition 2010. Depuis, le grand barnum n’avait plus posé ses roues dans la capital girondine. Après treize ans sans Tour, les locaux ont fait honneur au retour de la course, se massant le long des barrier installées sur les bords de la Garonne de longues heures avant le passage des coureurs ; qu’importe si le mercure frôlait les 33 °C. Il faut decir que estos últimos han decidido tomarse su tiempo. « Aujourd’hui, su un petit peu géré, le peloton entier voulait une journée plus calme, un expliqué Tadej Pogacar (Emiratos Árabes Unidos). Dans la dernière heure, on a utilisé beaucoup d’énergie mais c’est quand même une journée de repos par rapport aux deux étapes précédentes. »
Le Français Simon Guglielmi (Arkéa-Samsic) est parti en échappée, ouvrant seul la route pendant longtemps avant d’être rejoint par ses compatriotes Nans Peters (AG2R-Citroën) y Pierre Latour (TotalEnergies). Dernier rescapé du trio de fuyard, Latour sera finalement repris à 3,5 kilomètres de l’arrivée, quando les equipes de sprinteurs se mettaient en place pour l’emballement final.
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