Mié. Oct 16th, 2024

En 1972, Munich, Alemania accueillait les Jeux olympiques. Cincuenta años más tarde, la facultad de ciencias del deporte y de la salud, partie de la « TU M », s’est installée sur ce site mythique, grandement réaménagé. Sous une construction lumineuse et légère, en bois, ont été réunis des salles de sport, de conférences, des instituts de recherche, et même la cafétéria et la bibliothèque. Un chantier mené malgré une contrainte de taille: la práctica deportiva debe continuar malgré les travaux. Originalité du lieu: a partir de 17 horas, les portes s’ouvrent à tous les publics.

L’esprit des JO est-il maintenu avec ce site, mis au goût du jour par le cabinet d’architectes Dietrich Untertrifaller ? Elementos de respuesta en este podcast, con el reportaje de la periodista Marjolaine Koch y el debate sobre la rendezvous critique de la Cité de l’architecture et du patrimoine.

Vue d'ensemble de l'université TUM, sur l'ancien site olympique de Munich.

Toda una historia. C’est sur une colline qui n’a rien de bucolique qu’a été construit le parc olympique de Munich pour les JOs de 1972. Une colline faite des gravas et de débris consécutifs aux bombardements de la second world war, entassés allí, en un dominio militar ubicado a cuatro kilómetros del centro de la ciudad. El proyecto elegido se adapta a las especificidades del terreno, gracias a la ingeniería del arquitecto Frei Otto. La imagen de couvrir le stade (ainsi que les pistes d’athlétisme et les piscines) de toitures à l’aspect aérien, telles des toiles tendues. Estos son en realidad carritos de vidrio ensamblados, sostenidos por una trenza de cables. La colline se voit renommée Olympiaberg. Elle est assortie, à sa base, d’un lac de quelque 80 000 mètres carrés. Le site olympique devient aussitôt un emblème pour la ville, una firma arquitectónica única y fácilmente identificable vue du ciel.

Moins de trente ans après la victoire des Alliés contre l’Allemagne nazie, les JOs de 1972 sont censés marquer une nouvelle étape de la réconciliazione. Ils sont tristement entachés par l’coltat terroriste mené par un commando palestinien, lequel cause la mort de dix-sept personnes. Le site n’en est pas moins resté un lieu d’activité important pour le monde sportif allemand, accueillant depuis toutes les disciplinas. A l’heure de rénover des installations vieilissantes, le défi des architects s’est focalisé sur ce point: permettre aux étudiants de la faculté des sciences et des sports de continuer de s’exercer, même pendant les travaux, et accueillir le grand public al final del día.

Le site de l'université TUM, en Mónaco, en plein travaux.

Retroceda todos los episodios del podcast «Archi intéressant» ici.

Aujourd’hui. Un nouveau bâtiment, aux impresionantes dimensiones (180 mètres de long, 150 mètres de large), est destiné à répondre aux besoins croissants des utilisateurs du site. El s’agit d’abord de « la faculté des sciences du sport et de la santé, por lo que alrededor de 3 000 estudiantes, detalle Till Lorenzen, director de la Universidad Técnica de Munich (TUM). Nous centralisons tous les universitaires sports pour toutes les universités de Munich. Las infraestructuras son utilizadas por el entorno 9 000 personas cada semana. Il ya entorno 600 deportes diferentes practicados en este edificio ». Mais il s’agit aussi du public extérieur, espectadores de partidos deportivos y conciertos.

« Le bâtiment en un área de 400 000 mètres carrés, c’est un complexe de deux étages. Il est très étendu, comenta el arquitecto Much Untertrifaller. Cela s’est traduit par une problématique complexe sur les questiones de sécurité seismique. Le bâtiment mixe des eléments en béton et des eléments en bois – je dirais 80 % de bois. Le hall de sport a une structure bois tout comme les bureaux, la bibliothèque, la cafétéria. La rue intérieure y las circulaciones verticales del edificio son de hormigón. » La taille hors norma des installation, ajoutée à l’obligation de maintenir les activités du site olympique ouvertes, a obligé les architects chargés de la rénovation de produire un grand nombre d’éléments hors du site, et de les y acheminer ensuite on the way . « Il fallit un convoi Exceptionnel, similar à ceux qui sont utilisés pour les pales d’éoliennes », S’amuse Much Untertrifaller.

Además del hecho de que todos los estudiantes retrouvent désormais sous le même toit, el nuevo Olympiapark presenta une vertu environnementale. « Le bâtiment dans son ensemble est chauffé et climatisé gracias a una instalación geotérmica. Le toit est complètement recuuver de panneaux photovoltaïques. Le site est donc quasi autosuffisant », asegura el arquitecto.

Vue sur le gymnase à l'université TUM, de Munich.

Advertencia de experto. En la ocasión des rendez-vous critiques de la Cité de l’architecture et du patrimoine, arquitectos y periodistas sobre el debate bajo la houlette de Francis Rambert, director del departamento de creación arquitectónica de la Cité. La periodista de arquitectura Sophie Trelcat se dit d’emblée très enthousiaste: « Utilice la técnica du bois permet d’avoir un chantier très rapide. C’est pertinent par rapport au program et au timing très serré. Obtient un site très luxueux et élégant, avec une grande technicité. La rigidez se percibe por el juego visual entre las distintas estancias. » « Le bâtiment est beau, car il a une suche brutalité, Apprécie également l’architecte et enseignant Richard Scoffier. Tout est très agréable : grande, vítreo, transparente. » Philippe Trétiack, arquitecto y periodista, émet plus de réserves : « Si on veut résumer, on dirait que ce bâtiment est un tool extraordinaire, qui fonctionne, avec pleins de lieux pratiques, avec une scénographie intérieure qui permet de tout voir. Et, en même temps, c’est une écriture d’auteur très rigide. »

Réaménagement de l'université TUM, en Munich.

«Archi intéressant», un podcast producido y creado por Joséfa Lopez pour Le Monde, en colaboración con la Cité de l’architecture et du patrimoine. Reportaje: Clément Baudet. Voz en off: Isabelle Regnier. Realización : Ojo. Identidad gráfica : Mélina Zerbib, Aurélien Débat. Colaboración: Sonia Jouneau, Victoire Bounine.